Alors qu’une guerre sans merci fait rage à Alger entre les différents clans à coup d’intox et d’informations parfois fantaisistes, Paris demeure au centre d’intérêt des uns et des autres. La France constitue en effet un enjeu de taille dans une course à la survie entre les « survivants » du clan Bouteflika-Mediène et les réseaux du nouvel homme fort du pays, le général Ahmed Gaïd Salah.
Selon des informations recueillies à Alger par Maghreb-intelligence, le candidat Emmanuel Macron aurait bénéficié, lors de sa campagne pour les dernières élections présidentielles françaises, d’un financement de 7 millions d’euros en provenance d’hommes d’affaires algériens. Les principaux bailleurs de fonds seraient des oligarques algériens proches du régime déchu d’Abdelaziz Bouteflika. Selon nos sources, il s’agirait essentiellement de la famille Kouninef et du controversé ancien patron du FCE, Ali Haddad aujourd’hui incarcérés.
Pour participer à la campagne électorale d’Emmanuel Macron, les Haddad et Kouninef auraient utilisé leurs réseaux parisiens qui comptent plusieurs personnalités politiques françaises. Les noms de Jean-Louis Guigou et de sa femme Elisabeth Guigou, très proches de Haddad, ainsi que celui de Yasmina Benguigui et de plusieurs membres influents du Medef sont évoqués par nos sources. Des membres du patronat français auraient établi des connexions entre les oligarques algériens et l’entourage du candidat Macron. À signaler enfin que seul Issad Rebrab, la plus grosse fortune en Algérie, ne serait pas passé par Said Bouteflika pour contribuer à la campagne de Macron. Le patron de Cevital se serait appuyé sur les réseaux de son ami et conseiller François Touazi, devenu aujourd’hui l’un des plus proches conseillers d’Emmanuel Macron.
L’Algérie un protectorat économique néo-colonialiste français, est un vaste marché d’écoulement des produits
Français chères, onéreux, et non compétitifs (peut etre surfacturés)par rapport à ceux pratiqués par leurs voisins compétitifs européens, allemands, autrichiens, britanniques, hollandais, suédois, suisses, et en derniers espagnols, et italiens rusés, et moins fiables
L’Oligarchie affairiste corrompue,parasitaire, protégée algérienne compte beaucoup sur ses liens Culturels(bien sur ils sont très forts(!!), l’éducation de leur progéniture aisée,art culinaire,
Façon de parler, façon de penser rationnellement « Descartien »
« the french way of life », me corriger,s.v.p, si je me trompe)
Liens Economiques, et personnelles tissés avec le MEDEF,le Complexe Banquier-Militaro-Industriel français
Une chose qui me laisse pantois,le nationalisme des élites dirigeantes,et responsables françaises
Qui luttent, et qui s’accrochent avec une persévérance exemplaire
La démission, jusqu’à la trahison de nos élites algériennes (heureusement pas tous)
Passibles de crimes économiques
Les élites dirigeantes algériennes ont elles besoin d’une révolution culturelle nationaliste
Comme les mandarins chinois dans la campagne chinoise, pendant la « révolution culturelle chinoise »
1966-1969
La sonatrach a financé la campagne de Hollande en 2012…montebourg a servi de porteur de valises.
Sarkozy a tenté de faire financer sa campagne depuis l’Algérie lorsqu’il a pris en otage le Dr mourad dhina de l’ong rachad…350 millions d’euros.
…euh..pire encore le GAZ Livre a l’oeil,
Stabilite du regime, oblige…
Seuls les naifs pourraient croire a la neutralite des dirigeants francais dans la crise algerienne.Les enjeux economiques sont tellement enormes que l’Elysee ne puisse tirer les ficelles des perioeties du hirak algerien.. Le machiavelisme du cercle Macron et des milieux financiers francais ne tolereront point la sortie de l’algerie de la sphere d’influence de la France car la Chine, la Russie et les Etats Unis sont aux aguets.. et ce n’est pas sans raison s’ils ne se manifestent pas en prenant des positions pour tel ou tel camp…!
[…] Le journaliste ajoute : « pour participer à la campagne électorale d’Emmanuel Macron, les Haddad et Kouninef auraient utilisé leurs réseaux parisiens qui comptent plusieurs personnalités politiques françaises. Les noms de Jean-Louis Guigou, et de sa femme Elisabeth Guigou, très proche de Haddad (…) sont évoqués par nos sources. (…) seul Issad Rebrab, la plus grosse fortune en Algérie (…) se serait appuyé sur les réseaux de son ami et conseiller François Touazi, devenu aujourd’hui l’un des plus proches conseillers d’Emmanuel Macron ». lien […]