L’allocution du président Abdelmadjid Tebboune devant le sommet virtuel des chefs d’Etats et du gouvernement du Mouvement des pays non-alignés était très attendue par les observateurs régionaux, notamment quant à sa position par rapport à la crise libyenne.
Dans le texte de l’allocution prononcée par le président algérien et publiée sur le site de la présidence du pays, Abdemadjid Tebboune appelle le Conseil de sécurité des Nations unis à l’arrêt immédiat, dans les plus brefs délais, des hostilités en Libye et au Yémen, sans omettre les territoires occupés en Palestine et au Sahara occidental.
Si sur la Palestine et le Sahara, la position d’El Mouradia est restée fidèle à la rhétorique habituelle de la diplomatie algérienne, par contre sur le Yémen la surprise était totale. Pour la première fois depuis le déclenchement de la guerre au Yémen, Alger va aussi loin en mettant sur pied d’égalité les rebelles houthis, soutenus par l’Iran, et l’axe Riyad-Abou Dhabi. Ce qui pour le coup constitue un véritable changement dans la position de « neutralité bienveillante » adoptée jusque-là, dans ce conflit, par les autorités algériennes.
Mais cette position « courageuse » ne dura que le temps d’un gloussement de satisfaction des Algériens qui croyaient que leur pays avait retrouvé sa gloire diplomatique d’antan. Repris par plusieurs médias, la mouture initiale fut abandonnée deux heures après au profit d’une nouvelle qui ne contient aucune indication au Yémen. Toute honte bue, les services de la présidence algérienne avaient charcuté le texte d’origine en le remplaçant par un nouveau où la crise yéménite ne figure plus.
Selon des sources bien informées à Alger, dès l’apparition sur le site de la présidence de la première mouture et sa large diffusion dans les médias, les Emiratis et les Saoudiens se sont empressés de « questionner énergiquement » les Algériens. « Il y a eu des contacts en haut lieu », assure notre source, avant que la présidence algérienne ne rétropédale et retire le Yémen de son appel au Conseil de sécurité.
Si le pouvoir Algérien a vite accédé à la requête de Riyad et surtout aux pressions d’Abou Dhabi, c’est qu’il y avait péril en la demeure. Les Emiratis savent se montrer persuasifs, puisque plusieurs hauts gradés algériens, démis, à la retraite ou toujours en activité, ont trouvé à Dubaï un « paradis » pour faire fructifier leur argent. En outre, la coopération entre les armées algérienne et Emiratie, mais aussi entre les services de sécurité des deux pays, est très importante et ce depuis la période du général Gaid Salah. C’est probablement donc sous pression des militaires algériens que la présidence a cédée. Tebboune apprendra de cet épisode que désormais il ne faudrait pas omettre de prendre l’avis de l’état-major de l’ANP, surtout dans le domaine diplomatique.
Pour avoir des couilles, il faut qu’un président soit réellement élu par sont peuple et non par une poignée de misérable à qui on a promis le paradis pour bientôt, avec tout l’or et les diamants du Sahara ! En ce moment il ne fait figure que de marionnette figurant, avec la crainte du téléphone vert kaki qui sonne.
L’Algerie n’a JAMAIS changé de position quel que soit le président .C’est un torchon qui raconte n’importe quoi et vous le croyez .Au Yemen ,l’Algerie n’est avec personne et en Libye aussi et ceci depuis les premiers événements . Tebboune n’a pas peur de deux clowns pour changer et renier les principes de l’ALGERIE .
la honte ….il a ete elu bien avant les elections. C’est la preuve que les élections étaient jouées d’avance », ancien systeme de boutefika,….., le cornavirus est la au gouvernement
ah j ai oublie son fils a rien fait .le pauvre,.. il est sorti de prison libre ou cette justice parce que papa est president
Le Hirak doit trouver un nouveau souffle inchallah
Sa me fait rire quand je lis un site français nous dire des sources à Alger sans nous donnez la moindre preuve en nous demandant de le croire sur parole et Biensure certain idiot vont y croire ramenez nous dés preuve de ce que vous avancez sinon tout ce que vous dite sont du vent et sans valeur
Seul, l’avenir dira le pourquoi du comment!
un torchon marocain tout simplement