Par Maghreb Intelligence
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Le prochain round de négociations entre la Libye et l’Union européenne en vue de la signature d’un accord de partenariat économique est prévu le mois de juin prochain.
Dans cette optique, plusieurs émissaires Bruxellois ont fait le voyage en Libye pour tenter de ficeler l’ordre du jour. Pour Mohamed Siala, ministre libyen de la Coopération, la Jamahiriya laissera du «temps au temps» avant de concrétiser cet accord. Il a ainsi affirmé à «Maghreb Intelligence» que «Celui qui a attendu toutes ces années, ne va pas maintenant courir», avant d’ajouter : «Nous ne sommes aucunement demandeurs, ce sont les autres qui le sont».
Par ailleurs, on apprend de l’entourage du ministre des Affaires étrangères, Moussa Koussa, que son ministère qui a un droit de regard sur ce dossier n’a guère l’intention de commettre les mêmes erreurs que l’Algérie lors de ses négociations avec l’Union européenne. les Libyens estiment qu’ils sont en position de force, les pays de l’UE étant obligés d’acheter le pétrole et le gaz libyen afin d’assurer leur sécurité énergétique.
Dans cette optique, plusieurs émissaires Bruxellois ont fait le voyage en Libye pour tenter de ficeler l’ordre du jour. Pour Mohamed Siala, ministre libyen de la Coopération, la Jamahiriya laissera du «temps au temps» avant de concrétiser cet accord. Il a ainsi affirmé à «Maghreb Intelligence» que «Celui qui a attendu toutes ces années, ne va pas maintenant courir», avant d’ajouter : «Nous ne sommes aucunement demandeurs, ce sont les autres qui le sont».
Par ailleurs, on apprend de l’entourage du ministre des Affaires étrangères, Moussa Koussa, que son ministère qui a un droit de regard sur ce dossier n’a guère l’intention de commettre les mêmes erreurs que l’Algérie lors de ses négociations avec l’Union européenne. les Libyens estiment qu’ils sont en position de force, les pays de l’UE étant obligés d’acheter le pétrole et le gaz libyen afin d’assurer leur sécurité énergétique.