Les autorités algériennes, via la Direction des services agricoles (DSA), viennent de concéder, mercredi dernier, une superficie de 5.000 hectares à un prince saoudien, Mishaal Bin Saud Bin Abdulaziz.
Le prince saoudien, associé à l’homme d’affaires algérien Abdelkrim Bounaâma, exploitera ces 5.000 hectares situés à El Menea pour des cultures « stratégiques » comme les qualifient officiellement les autorités algériennes. Soit la production de céréales et d’aliments pour le bétail.
Si le montant de la transaction n’a pas été révélé (y aurait-il vraiment eu une contrepartie ?), Alger affirme que ce projet générera près de 100 emplois.
Grand hic, ni le prince saoudien, septuagénaire, ni l’homme d’affaires algérien (opérateur de BTP) n’ont d’expérience dans le domaine de l’agriculture.
Serait-ce l’une des suites de la visite, controversée, du prince Bin Salmane (MBS) en Algérie début décembre dernier ?
Tout porte à le croire…
Dans sa tombe Houari boumedienne se retourne en entendant cette information.meme si la revolution agraire n a pas marché. L algerie devrait prendre l initiative elle meme pour trouver une autre politique agricole, vendre ses terres aux etrangers est une issu fatale. Et la main d oeuvre elle sera aussi etrangere.c est bien domage!
Chergui 70% de la finance Marocaine et dirigée pas les lobbyistes financiers ,je lance un appel aux marocains de venir à Barbès pour aider les mineurs marocains,ils me font de la peine abandonné par le le Roi (berbères réveillez vous)
articles plus détaillés à l’avenir merci.