Quand L’Economiste voit l’inodore secrétaire général de l’Istiqlal, Nizar Baraka, comme potentiel sauveur du royaume

Par Mohamed Foulahi
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  • Khalid mai 7, 2020 à 15:27

    Nizar BARAKA fait bcp de bruit. Il est carrément dans une profusion de COM digne d’un matraquage préélectorale instant et pressé. Le lecteur régulier de ses articles a l’impression que Nizar BARAKA a les meilleures propositions de solutions et même les seules meilleures solutions à tous les problèmes. Il y a 2 postulats:
    1. Il tape avec de plus en plus de bruit pour grignoter le max de terrain au PJD, RNI et USFP et ainsi de positionner comme allié incontournable pour ces organisations politiques. Ceci sachant que tous les indicateurs donnent le PJD arrivant aux élections prochaines, rampant à genou.
    2. Il est minutieusement préparé pour remettre l’Istiqlal au gouvernement avec la Koutla et le RNI comme parti centriste de droite; gouvernement sans PJD.
    Cette option a l’avantage de fractionner l’électorat et réduire les poids de partis comme le RNI et le PJD déjà vidé de sa raison d’être et même ridiculisé.
    Il est vrai que l’histoire du Maroc a montré que lorsqu’une formation politique obtient une majorité confortable, elle finit par sombrer dans les tentatives d’hégémonie sur les process de décisions et de noyer dans un conflit ouvert avec toutes les instances de l’état. La démocratie interne des partis politiques est presque une chimère car volontairement combattue par les chefs des organisations qui cultivent une sédentarité héréditaire et héritière. C’est le culte du caïd héritier et héréditaire.

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