Depuis que Saïd Bouteflika est en perte de vitesse à Alger, c’est une certaine presse parisienne habituée aux « largesses » du pouvoir algérien qui en souffre. [onlypaid]
Ainsi, les portraits laudateurs du président algérien ont disparu depuis quelques mois de la Une de certains titres paraissant dans la capitale française. Ainsi, les mensuels « Arabies » et « Afrique Asie » ont vu leurs budgets réduits à zéro. D’ailleurs, le téléphone de Saïd Bouteflika reste muet à chaque fois qu’un des responsables des deux publications essaie de le joindre. Le pouvoir algérien a décidé de changer de stratégie. Les dirigeants de ce pays, notamment le premier ministre Ahmed Ouyahia et les généraux du DRS estiment qu’avec ce qui se passe aujourd’hui en Libye et en Tunisie, l’Algérie est en position de force. Même si elle n’offre pas un parfait modèle de démocratie et de bonne gouvernance, l’Algérie est toujours stable et les grands chantiers continuent d’appâter les grands groupes internationaux. En plus, les responsables algériens se concentrent maintiennent sur les chaînes de télévisions, qui ont plus d’audience et d’impact. A ce propos, l’approche adoptée avec la chaîne française France 24 est jugée fructueuse, puisque l’Algérie y bénéficie d’un traitement « amical ».[/onlypaid]
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