En Algérie, il demeure un homme presque totalement méconnu. Et pourtant, son entreprise le groupe Metidji, est l’un des acteurs économiques les plus importants du pays. Safina, sa marque de pâtes alimentaires, est pourtant connue de tous les Algériens, qui sont nombreux à fredonner le thème musical de sa campagne publicitaire. Derrière tout ce succès se cache malgrès tout un homme discret et timide.
Un homme qui pèse quelque 300 millions de dollars, soit le chiffre d’affaires annuel du groupe Metidji, dirigé d’une main de fer par son DG Metidji M’hamed Zoubir. Véritable homme de réseaux, ce businessman entretient des relations privilégiées avec de nombreuses personnalités influentes en Algérie, ou des hommes d’affaires richissimes. Le jeune manager âgé de moins de 40 ans, Metidji M’hamed Zoubir, a pris les rênes du groupe familial après avoir accompli de hautes études en France et aux Etats-Unis. Mais l’homme d’affaire est surtout connu dans les salons de la nomenklatura algérienne pour sa grande passion pour l’univers des chevaux. Depuis son plus jeune âge, il élève des chevaux dans les propriétés familiales. « Pour un cheval, il est prêt à sortir de sa poche plus de 2 millions de Da », témoigne un interlocuteur qui connait bien Metidji M’hamed Zoubir, tandis que d’autres avancent des sommes nettement plus conséquentes. Mais le DG du groupe Metidji ne fait pas que dépenser sans compter pour ses chevaux.
Il est également l’homme qui préside la Fédération équestre algérienne (FEA), une position qui lui vaut de nombreuses animosités en raison des récentes réussites financières de cette fédération. Avec une trésorerie pleine à craquer, la FEA est devenue la deuxième fédération sportive la plus riche en Algérie. Naguère totalement méprisée, elle suscite aujourd’hui toutes les convoitises. Une guerre de clans déstabilise cette fédération, avec l’objectif clairement affiché d’obtenir la tête de Metidji M’hamed Zoubir.
Mais ce dernier résiste aux assauts les plus hostiles. Ses fidèles lui vouent un énorme respect et défendent vigoureusement son bilan. L’homme d’affaires qui murmure à l’oreille des chevaux en Algérie ne semble pas devoir raccrocher de si tôt.
Skander Salhi, thanks for the article post.Really thank you! Great.
Les commentaires ne volent pas très haut!
À force de brosser les bottes de votre pourvoyeur publicitaire votre image s y refletera. Honte a vous
C’est un bougnoule un indigene de la republique Francaise …..l