C’est une requête pour le moins surprenante que celle que vient de formuler le collectif d’avocats qui assure la défense du journaliste Taoufik Bouachrine, accusé de viols, d’agressions sexuelles et de traite humaine.
Selon nos sources, les avocats de l’éditeur de Akhbar Al Yaoum et Alyaoum24 veulent éviter que soient visionnées plus de 50 vidéos devant la Cour.
« Cela risque de changer la donne lors de ce procès », affirment nos sources.
Selon les mêmes sources, le Parquet tient à ce que soient visionnées ces vidéos. Ce qui devrait se faire à huis clos, en présence des seuls avocats des deux parties et des personnes concernées, soit le journaliste et les plaignantes.
Ces 51 vidéos avaient été saisies dans le bureau du journaliste lors de son arrestation en février dernier. Elles immortalisent des scènes de viols et d’agressions sexuelles filmées sur plusieurs années.
Salut