Au Maroc, Moulay Taieb Cherkaoui était l’un des hommes les plus en vue du pouvoir, aussi bien sous Hassan II que pendant les douze premières années du règne de Mohammed VI. Longtemps patron de la Direction des affaires pénales et des grâces au ministère de la Justice (où il était le vrai boss), il a roulé sa bosse dans plusieurs hautes fonctions.
En janvier 2011, il devient ministre de l’Intérieur et les Marocains retiennent que c’est au moment où il dirigeait ce département que les islamistes sont arrivés au pouvoir après les élections du 7 novembre 2011. Trois mois plus tard, il sera relevé de ses fonctions pour être remplacé par Mohand Laenser, chef de file du Mouvement populaire et actuel président de la région de Fès-Méknès.
Mais depuis, que devient Moulay Taieb Cherkaoui, s’interrogent les habitués des salons de Rabat et de Casablanca ?
«Il est gravement malade et ne sors plus de chez lui. En plus, il est obligé de gérer des tracas familiaux à cause de l’un de ses fils», répond un proche de l’ancien homme fort du ministère de la Justice.
Et, selon notre source, rares sont les gens qui viennent lui rendre visite, à l’exception de quelques membres de la «clique de cherkaoua», tous originaires de la ville de Bejaâd comme Moulay Taieb lui-même.
«Quand vous n’avez plus de pouvoir, il est disons normal que le vide se fasse autour de vous», note notre source qui a refusé de nous révéler la nature de la maladie de Cherkaoui.
Voici l’exemple même de la non information aussi stupide que méchante. Il est urgent que l’auteur, aillé travaillé ailleurs que dans le journalisme, s’il en est capable.
Détrompez-vous par un tel avis hatif!. L-article subtil cité ci-dessus dénote que le strapontion à l’ancienne résidence du Maréchal Lyautey à Rabat n’a pas été une tâche aisée et de bon augure pour cet ancien magistrat aguerri et ex-président de la Cour suprême de justice. En dépit de se doter de la vieille garde de la boîte, y compris Mohammed Salah Tamek au poste de directeur de son cabinet, pour vaquer à la gestion des dossiers brûlants, L’élection du turbulent barbu Benkirane et son parti PJD à la primature lui a été fatale et une retraite encourant une disgrâce du serail. Comme quoi, la bénédiction ou plutôt la « baraka » de Sidi Bouâbid Charki n’a pas eu le mérite escompté comparativement à l’hardiesse et la pugnacité du l’ex-Visir Driss Basri à la gestion de la machine de l’intérieur.
Je pense qu il a mal géré l affaire agdim izig ainsi que les émeutes du 20 fevrier
Quand vous dite clique de cherkaoua ayez au moins un peu de respect c’est déplacer de parler ainsi en et pas un clique en et des personne respectable avec un grand respect alors au lieu de parler pour rien soyez sérieux