Par Mohamed Foulahi
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Finalement, rien ne marche plus pour Mohamed Laâraj, le ministre haraki de la Culture et de la Communication. L’ancien professeur de droit a réussi le pari de se mettre à dos les acteurs culturels, mais aussi les hommes des médias qu’il ne semble nullement porter dans son cœur.
Et, au niveau de son administration, c’est une anarchie sans précédent. Dernier exemple en date, le Syndicat des journalistes (SNPM) l’a contacté pour demander des explications quant au retard de délivrance des cartes professionnelles des journalistes et s’attendait à toutes les réponses sauf à une réplique surréaliste: l’imprimante qui sert à confectionner lesdites cartes est en panne depuis quelque temps!