Dimanche tous les yeux étaient tournés vers les ministres islamistes du Parti de la justice et du développement (PJD, au pouvoir). Et pour cause, le pure-player Barlamane.com, qui a à son actif plusieurs jolis scoops, a lancé une véritable bombe dont la déflagration ne manquera pas d’atteindre la carrière d’au moins un ministre affilié au PJD. Selon le site électronique basé à Rabat, l’une des journalistes entendues en marge de ce qui est aujourd’hui appelé « l’affaire Bouachrine », a révélé qu’elle a été victime d’un viol de la part d’un ministre du parti islamiste. La journaliste a précisé aux enquêteurs de la BNPJ que ce ministre avait appartenu au cabinet Benkirane, avant de rempiler dans l’actuel gouvernement.
L’information relayée sur les réseaux sociaux a fait l’effet d’une bombe et les spéculations pour essayer de deviner qui serait le ministre « incriminé » par la journaliste sont allés bon train. Sur les six ministres qui ont déjà siégé sous les ordres de Benkirane, deux noms reviennent avec insistance dans les commentaires des internautes. Si donc, l’accusation de viol se révèle vraie, le chef du gouvernement serait une nouvelle fois encore appelé à raccommoder un gouvernement qui n’en finit pas de prendre l’eau de toutes parts.
Vous ne rapporter que des mensonges. L’objectif est de « défigurer » la bonne immage des ministres PJD dont Benkirane.
Mêmes les accusations contre Bouachrine ne sont que des règlements de comptes contre un journaliste serieux et courageux pour le « dresser » comme ils ont faits avant avec NINI.
السياسۃ كلها كذب
هدا ما أتى به قانون التحرش….
لي. أعطى زكو. لهلا إيفكوا.: »..
ولما لا……/////
وراه. ولأول…..مرة….اصحاب. لحي
تيحصلوا….واش…….توزيعات….
En pleine campagne présidentielle, officiellement lancée le 24 février, avec un chef de l’Etat omniprésent et ne souffrant aucune concurrence véritable, l’étau semble se resserrer.