C’est l’un des chantiers considérés comme névralgiques par les dirigeants algériens qui est aujourd’hui en panne sèche. L’indépendance alimentaire donne en effet toujours du fil à retordre au gouvernement et les dernières statistiques publiées par l’administration des douanes viennent étayer ce constat d’échec.
Les importations de deux denrées alimentaires, et non des moindres, le blé et le lait, ont enregistré lors des quatre premiers mois de l’année 2018 une hausse conséquente. Ainsi la facture des importations de blé a augmenté de plus de 37 % s’établissant à 1,17 milliards de dollars.
De même pour le lait dont la facture a atteint 557 millions de dollars, soit une hausse de plus de 17 % en quatre mois. Selon la Douane algérienne, la facture alimentaire globale a bondi de 4,2 % par rapport à la même période en 2017. Pour ce qui est du sucre, malgré une baisse sensible, l’Algérie continue à en importer en grandes quantités, pour à peu près 300 millions dollars, contre 361 millions pour la même période en 2017.
L’Algérie programme et ne fait pas du pifometre, il faut se préparer a protéger vos arrières le jour venu, le jardin de l’Europe et même de l’Afrique sera le Grand Sud-Ouest Algerien.
Il sera le produit le plus compétitif au monde et irrigué par
L’éternelle nappe des eaux qui l’alimente de l’Atlas marocain du mekhzene.