Dans les coulisses de la diplomatie espagnoles, un sujet revient ces derniers jours avec insistance le royaume du Maroc. Les récents développements diplomatiques de son voisin du sud inquiètent les responsables ibériques qui craignent un raidissement des positions du royaume chérifien sur des sujets comme celui de Sebta et Mellilia, de l’immigration clandestine ainsi que de la lutte contre le grand banditisme.
La cause de cette anxiété qui s’est emparée des dirigeants espagnols se trouve dans le rapprochement à grands pas opéré entre Rabat et Tel-Aviv. La normalisation des relations entre le Maroc et Israël avec son impact diplomatico-économique fait craindre à Madrid une perte d’influence chez son voisin.
Mais c’est l’activisme russe au Maroc qui donne du fil à retordre à l’Espagne. Depuis le début des années 2000, Moscou a renforcé ses relations diplomatiques et économiques avec Rabat. Selon des sources espagnoles, les Russes lorgnent avec grand appétit sur le nouveau complexe portuaire Nador West Med, qui ambitionne de devenir à partir de 2021 le principal hub d’hydrocarbures en Méditerranée occidentale. Les Russes sont déjà de bons clients de divers produits marocains comme l’agriculture, les produits de pêches et envisagent une coopération pointue avec les Marocains dans les domaines de l’énergie, des industries chimiques et de la technologie.
Signe de la solidité des relations entre Rabat et Moscou, le Maroc est devenu le troisième partenaire économique de la Russie en Afrique et le deuxième arabe. Sur le plan diplomatique, la Russie a protesté mollement contre la reconnaissance par les Etats-Unis de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental.
Plutot que de s’inquiéter de la perte de son influence au Maroc, l’Espagne ferait mieux de reconnaitre clairement et honnêtement la marocanité du Sahara dont elle a spolié le Royaume Chéfifien en 1884, et de s’apprêter à engager des discussions srieuses et réalistes sur l’avenir des Présides et ilôts Marocains occupés. Elle doit se mettre au diapason du monde du 21e siècle en abandonnant ses relans coloniaux. Elle y aurait tant à gagner. Sinon TOUT A PERDRE…
Il n’y a pas de royaume chérifien depuis 1958
C’est du pareil au même, quand on appelle l’Espagne, la « péninsule ibèrique » ou le Portugal « la Lusitanie » ou le la France « l’hexagone », tout le monde comprend….
Maintenant, on peut allez plus loin, avant 1957, le roi au Maroc était Sultan.
Tout ceci n’est que conjecture, si vous voulez faire des remarques ou émettre des avis soyez constructif, si on veut avoir un jour (INCHA ALLAH) un Maghreb qui avance, arrêtons avec ces comptes d’apothicaire.
Le trafic de cannabis sert seulement de couverture au transit de la cocaïne via le Maroc, pour financer la vie politique et les opérations clandestines de l’état français.
Zerma, les occidentaux et les russes qui veulent du bien au peuple Marocain… Toz ouais.