Un tribunal de Tel Aviv a rejeté la demande d’Amnesty International (AI) de suspendre la licence d’exportation de la compagnie NSO Group, montrée du doigt pour de supposés opérations d’espionnage.
Dans le cadre d’une saisine urgente, Amnesty International a demandé au ministère israélien de la Défense de révoquer la licence de NSO Group, mais le verdict de la Cour considère qu’il n’y a pas suffisamment de preuves et que la commercialisation de ce logiciel est faite après un processus des plus « rigoureux ».
Il faut rappeler que l’ONG basée à Londres a porté de graves accusations contre le Maroc dont les autorités ont été accusées d’espionner le téléphone du journaliste Omar Radi.
Mais, malgré les multiples relances de Rabat, Amnesty n’a pas encore apporté de preuves concernant ses allégations.