Par Maghreb Intelligence
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Jamal Eddine Naji et Mohamed Selhami à couteaux tirés.
C’est une véritable guerre des tranchées que se livrent Jamal Eddine Naji, coordinateur national du débat national sur les médias et la société et Mohamed Selhami, patron de l’hebdomadaire «Maroc Hebdo». Dans les salons, les deux hommes ne s’épargnent pas et la cause serait la place de président de Conseil de la presse qui devrait être créée dans quelques mois et que les deux convoiteraient vivement.
Il faut dire que l’enjeu est de taille. Le Conseil supérieur de la presse devrait être une sorte de HACA qui régulerait le champ de la presse marocaine. Les deux hommes ont tous les deux des arguments solides qu’ils font valoir à leurs «mentors» pour empocher le poste tant convoité. Jamal Eddine Naji, professeur de communication et consultant auprès de beaucoup d’ONG, a formé plusieurs générations de journalistes marocains. Même s’il n’a jamais été dans les petits papiers du pouvoir, il semble aujourd’hui apprécié . Il présenterait le gage d’être indépendant et très à cheval sur la déontologie. En face de lui, Mohamed Selhami est un des vieux routiers de la presse au Maroc dont il connait toutes les ficelles. Les patrons de presse seraient en majorité pour sa candidature. Seul handicap : peut-on être juge et partie à la fois ?
C’est une véritable guerre des tranchées que se livrent Jamal Eddine Naji, coordinateur national du débat national sur les médias et la société et Mohamed Selhami, patron de l’hebdomadaire «Maroc Hebdo». Dans les salons, les deux hommes ne s’épargnent pas et la cause serait la place de président de Conseil de la presse qui devrait être créée dans quelques mois et que les deux convoiteraient vivement.
Il faut dire que l’enjeu est de taille. Le Conseil supérieur de la presse devrait être une sorte de HACA qui régulerait le champ de la presse marocaine. Les deux hommes ont tous les deux des arguments solides qu’ils font valoir à leurs «mentors» pour empocher le poste tant convoité. Jamal Eddine Naji, professeur de communication et consultant auprès de beaucoup d’ONG, a formé plusieurs générations de journalistes marocains. Même s’il n’a jamais été dans les petits papiers du pouvoir, il semble aujourd’hui apprécié . Il présenterait le gage d’être indépendant et très à cheval sur la déontologie. En face de lui, Mohamed Selhami est un des vieux routiers de la presse au Maroc dont il connait toutes les ficelles. Les patrons de presse seraient en majorité pour sa candidature. Seul handicap : peut-on être juge et partie à la fois ?