Quelle mouche a donc piqué Abdelhak Khiame, le patron du Bureau central des investigations judiciaires (BCIJ), organe mis en place par la Directeur Général de la Surveillance du territoire pour lutter contre le crime organisé, notamment le terrorisme ?
Après sa sortie ratée sur l’assassinat commis par des tueurs à gages au café La Crème début novembre à Marrakech, le revoilà qui se hasarde sur les chances du onze national marocain de football lors du prochain Mondial en Russie. Abdelhak Khiame s’était déjà illustré de manière peu « orthodoxe » pour un patron de l’antiterrorisme, en se laissant prendre en photo dans les vestiaires du Raja de Casablanca ou à la tribune d’honneur du stade lorsque jouait son équipe favorite.
Ce qui attire l’attention, c’est la promptitude avec laquelle Abdelhak Khiame veut souvent faire la Une des journaux. Quitte à se muer en technicien circonstanciel du football! Une surmédiatisation qui n’est pas sans rappeler son ancien patron à la DGSN, un certain Hamidou Laanigri, aujourd’hui à la retraite. Cette attitude tranche avec le principe de discrétion pourtant requis chez les sécuritaires.
Pov con d’imbéciles…les marocains souffrent de la misère alors que lui et ses sbires menacent et torturent les pov citoyens…
Exactement
Tout les peuples arabe musulman souffrent de la dictature de leur dirigents
La majorité des marocains vivent décemment. Si toi tu vis dans la misère, c’est parce que tu es un vrai con.
La voie du seigneur est impénétrable,.