Par Skander Salhi
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« Cela ne fait pas l’ombre d’un doute, Farouk Ksentini a bel et bien été reçu par Abdelaziz Bouteflika », nous affirme une source diplomatique à Alger. L’ex-président de la Commission nationale consultative pour la promotion et la protection des droits de l’homme, fidèle parmi les fidèles d’Abdelaziz Bouteflika, n’aurait pas menti sur son tête-à-tête avec le président à Zéralda, malgré l’étrange démenti d’El Mouradia visiblement rédigé à la hâte et sous pression.
En effet, maître Farouk Ksentini, en affirmant publiquement la volonté d’Abdelaziz Bouteflika de briguer un cinquième mandat, n’a fait que ce qu’on lui a demandé. L’entourage du président joue la montre et veut tuer dans l’œuf tout débat autour de la légitimité et l’opportunité d’un cinquième mandat. « Ils veulent prendre tout le monde de court et imposer un état de fait », explique cette même source.
Mais c’était sans compter avec le général Ahmed Gaïd Salah. En prenant connaissance des déclarations de Farouk Ksentini, le sang du chef d’état-major n’a fait qu’un tour. Il aurait sèchement demandé à Saïd Bouteflika de démentir les déclarations mensongères de Ksentini. Le coup de fil du haut gradé a rapidement été suivi par un lâchage du célèbre avocat.
Un deal existe en effet entre les deux hommes, et le frère cadet du président vient de le faire voler en éclat. Lors des réunions hebdomadaires qu’il tient avec Saïd Bouteflika, en présence du patron du DSS, le général Athmane Tartag, un accord aurait été trouvé sur la question épineuse du cinquième mandat. Si le président devait rempiler, cela ne sera annoncé qu’à quelques mois du scrutin. Le patron du DSS aurait beaucoup insisté sur le timing parce qu’il estime, qu’incapable de mener une campagne électorale, Abdelaziz Bouteflika se fera démonter par l’opinion publique, notamment dans une conjoncture socio-économique explosive qui risquerait de créer une situation sécuritaire ingérable.
Il faut dire que la méfiance atavique du clan présidentiel envers les généraux a toujours existé. Il y a peu de temps, les hommes du président avaient lancé le secrétaire général du FLN dans l’arène. Lors d’un meeting de son parti, Djamal Ould Abbès, brouillon et surtout évasif, il s’était contenté de dire « qu’il connaissait le nom du futur président de la république ». Enigmatique, mais pas brillant comme opération de communication.
Aujourd’hui, l’absence physique du président Bouteflika a transformé la scène politique en scène de guerre. Il y a les mensonges, les insultes, les intrigues, les règlements de comptes, les conspirations, et les scandale. Une ambiance de western avant un le face à face final.
c’est vs avez un peu de dignité et un peu sang algérien, le bonhomme n’a même pas fait son 4ème mandat et vs parlez du 5ème. Kounou okala et éssayer d’élire un homme honnete pour essayer de sauver ce qu’il reste à sauver de ce pays. Les voleurs du régime n’ont rien laissés pour ce peuple.
A voir le grand totem de Mougabe s’effondre, à quelle moment ils prennent conscience qu’il y’a une fin à tous.
Mmn les decideurs dites toute la verite au peuple algeriens il y va de votre credibilite envers votre peuple et votre pays gloire a nos chouhada
carnaval fi dachra
C’est bien dit
hhhhhhhhhhh la 5 serie des guignols e l’Algérie va commence pfffffff personne ne va le croire même le livre de guiness va être brûlé par la famille boutef
Changeons alors la constitution et déclarons l’Algérie,empire !
HISBOUNA ALLAH OUA NI3MA EL OUAKIL,VOUS N’AVEZ PAS HONNORES LE SERMENT ENVERS NOS CHOUHADAS EL ABRARES,HEUREUSEMENT QU’IL Y A UN DIEU SOUBHANOU ,IL YA LA MORT ET LE JOUR DU JUGEMENT.
laissez le bonhomme terminer sa vie avec dignité , si vous vous reprochez quoique ce soit vous avez des compte à l’étranger et partez laissez nous tranquille , laissez ce peuple il vivra mieux sans vous
Barak allahou fil Mr Benahmed
Il faut mettre un vrai algérien qui est née ici exemple un boumediene un vrai homme
C’est la Guerre déclarée ,à couteaux tirés,pour la Succession.
Que Dieu nous preserve.
C’est la Guerre déclarée , à couteaux tirés ,pour la Succession.
Que Dieu nous en preserve.