Le torchon brûle entre Taoufik Bouachrine, le fondateur du journal Akhbar Alyaoum, et l’ancien député socialiste Hassan Tarik.
Le premier, dans le cadre de son procès pour viols, agressions sexuelles et traite d’êtres humains, voulait appeler son (ex) ami à la barre comme témoin à décharge.
Sauf que l’ancien député USFP, politologue et professeur d’université, a catégoriquement refusé.
Depuis le début du procès, Taoufik Bouachrine et son collectif d’avocats n’ont eu de cesse de répéter que Hassan Tarik avait mis en garde, par SMS, le journaliste-éditorialiste quelques jours seulement avant la descente de la police dans les locaux du journal et son interpellation.
« Hassan Tarik parlait d’une autre affaire qui pouvait attirer des ennuis à Taoufik Bouachrine et qui a trait à une plainte déposée contre lui pour adultère par sa femme », indiquent nos sources.
Ladite plainte a par la suite été retirée par Mme Bouachrine, et c’est sur cette autre affaire que l’ancien député et SG de la jeunesse de l’USFP refuse de s’exprimer, que ce soit dans les médias ou devant les juges.