Exclusif. Au Koweït, Said Chengriha a tenté de convaincre les monarchies du Golfe de réduire leur soutien au Maroc 

Par Ilyas Aribi
A A
Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

  • BENYOUNES décembre 4, 2024 à 00:47

    Lamentable … Ah’lil d Alh’if ..
    Décidément nos dirigeants du Maghreb en plus d’êtres incompétents et mauvais gestionnaires, ils sont de plus en plus des handicapés de la communication.
    Si Ibn Khaldoun avait dit avec raison que  »les arabes se sont unis pour ne plus jamais s’unir » et nos dirigeants maghrébins vont chercher conseil chez ces mêmes arabes.
    Dans la même lignée et optique qu’Ibn Khaldoun, un sage amazigh à qui on a demandé que faut-il faire pour Unir Tamazgha/Maghreb, car nos dirigeants sont imbus de leurs personnes, passent leurs orgueils avant l’intérêt des peuples en plus d’êtres des ignorants en communications: il répond  » Amek
    a-ra nexdem? … An siwel iy verraniyen …. ( Comment faire? … On fera appel aux étrangers). Pauvre Tamazgha/Maghreb : la première génération a été muselée, opprimé au point d’être obligée de se taire. La deuxième génération a été deculturee , son Histoire falsifiée en lui imposant l’arabo-islamisme dans le but de l’assimiler. La troisième génération qui représente l’espoir , connait l’Histoire et consciente des enjeux et de la force de Tamazgha/Maghreb où amazighophones et arabophones sont condamnés à vivre ensemble est écartée de la gestion ou exilée pour faire surtout le bonheur de l’ancien colonisateur. Cette génération montrait les étoiles et les galaxies pour nos dirigeants incompétents pour leur montre leurs connaissances et évolutions, mais ces retardés dirigeants, au lieu de contempler les étoiles et les galaxies pour saisir le message, NON, ils regardaient plus leurs doigts.

    Répondre
    • Ziad42 décembre 13, 2024 à 17:41

      N’importe quoi ! Il faut appeler un chat, un chat et ne pas tout noyer dans le « tous pourri ». Dans cette histoire, il y ‘a l’agresseur et l’agressé. Avant de parler de Tamazgha, il faut se débarrasser des harkis qui ont transformé l’Algérie en un grande prison ouverte.

      Répondre
  • jaz décembre 4, 2024 à 21:15

    Said chengriha est le promoteur du problème Algero marocain ils a le culot d’aller se plaindre en jouant la victime Alors qu’il arme les terroristes de tout bords en Afrique pour déstabiliser les pays voisins quelle Honte

    Répondre
  • Kamel décembre 11, 2024 à 16:50

    Pourquoi ces supercheries anti Algérien. tjrs dans la fourberie et le mensonge. le cas sahraoui et Polisario est sur la table de l’ONU, le conseil de sécurité, la cour internationale de justice, l’UA , mais, nous dupé pour rejeter la faute sur l’Algérie. ce qu’une fuite en avant au lieu d’un référendum pour la liberté d’un peuple sahraoui

    Répondre
    • Ziad42 décembre 13, 2024 à 17:12

      Si le cas sahraoui et Polisario est sur la table de l’ONU, alors TRES BIEN.Dans ce cas l’Algérie doit adopter une position de neutralité , Non .

      Répondre
      • Kamel décembre 21, 2024 à 18:17

        les réfugiés Sahraouis sont sur le sol Algérien sous l’entière responsabilité de l’ONU. A méditer

  • Ziad42 décembre 13, 2024 à 17:34

    Ils sont dans le déni, ces dirigeants algériens. C’est, quand même, l’Algérie avec Kadafi qui ont crée, financé et armée le polisario.C’est l’Algérie avec Kadafi qui ont fait en sorte que le polisario intègre l’OUA grâce aux pétrodollars et la corruption de certains pays africains. C’est toujours l’Algérie, actuellement, qui continue d’armer et de soutenir le polisario sur le plan financier et diplomatique. C’est l’Algérie qui appelé ses ambassadeurs à Madrid et Paris pour protester contre l’Alignement de la France et de l’Espagne sur les positions marocaines. Et la liste des arguments est longue. L’Algérie n’a qu’un seul dossier : le polisario. D’après Amar Saiidanie, l’ancien secrétaire générale du parti FLN, l’Algérie a dépensé de 1975 à 1918 , au minimum, 500 milliards d’euro.
    Chengriha est allé au Koweit pour demander une médiation avec le Maroc. Seulement le Maroc pose un certain nombre de condition à l’Algérie.
    Le lendemain de la visite de Chengriha, les six pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG*) ont réitéré, dans une déclaration lors de la session ordinaire du Comité des 24 de l’ONU à New York, leurs positions constantes en soutien à la marocanité du Sahara et à l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc .

    Répondre