Le chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian, a été invité à Alger où plusieurs dirigeants l’attend impatiemment pour lui parler des conditions de libération des otages au Mali dont la ressortissante française Sophie Pétronin qui a été libérée la semaine passée au Mali, après près de quatre années de captivité, en compagnie d’un responsable politique malien et de deux Italiens.
Selon nos sources, c’est Alger qui a beaucoup insisté pour rencontrer dans les plus brefs délais le chef de la diplomatie française afin de s’entretenir avec lui au sujet des coulisses de la libération des otages au Mali. Alger n’a pas manqué d’exprimer à Paris son agacement et sa vive inquiétude à la suite de la confirmation par plusieurs rapports des services secrets algériens qu’une conséquente somme d’argent a été versée aux ravisseurs, à savoir le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), une alliance de groupes jihadistes affiliée à Al-Qaïda, une mouvance totalement hostile à l’Algérie et qui pourrait utiliser cet argent précieux pour financer de nouvelles expansions dans le Sahel. Les rapports établis par les services algériens indiquent qu’une somme d’environ 15 millions d’euros a été remise aux djiahidstes pour remettre en liberté la ressortissante française et les deux ressortissants italiens retenus en otages.
Alger a été également choquée et énervée par la remise en liberté de plus de 206 éléments terroristes à Bamako en échange des otages libérés et de l’opposant malien Soumaila Cissé. Selon nos sources, Alger ne comprend pas comment Paris ait pu mettre en place cette opération avec le nouveau pouvoir de Bamako sans l’avertir préalablement alors que le risque terroriste pèse lourdement à l’encontre de l’Algérie.
Jean-Yves Le Drian sera également questionné sur le processus de négociations qui sera bientôt lancé par des parties maliennes avec les représentants des groupes d’Al-Qaida au Sahel afin de conclure un accord de paix avec pour seul objectif de s’unir pour neutraliser
l’Etat islamique au grand Sahara (EIGS), affilié au groupe Etat islamique, à savoir Daesh, jugé par Paris et Bamako comme étant une menace beaucoup plus dangereuse et importante que les groupes affiliés à Al-Qaida. Les échanges promettent d’être intenses à Alger entre Le Drian et les dirigeants algériens.
Tout le monde sait que l’Algérie est la marionnette de notre gouvernement français.
L’Algérie a permis à la France de franchir son espace aérien pour l’opération serval de 2013!
L’Algérie nous donne du gaz gratuitement via Total.
L’Algerie a donné 15 milliards de dollars de contrats à François Hollande en échange d’un soutien pour quatrième mandat de Bouteflika
Rien de nouveau sous le soleil