C’est un sale quart d’heure que les importateurs et distributeurs de pièces détachées automobiles ont passé mercredi matin devant un Moulay Hafid Elalamy véritablement déchaîné. Piqué au vif par les interventions des représentants des importateurs, le ministre marocain de l’Industrie et du commerce a littéralement étrillé cette corporation lors de la présentation du lancement du système de labellisation du circuit de distribution des pièces de rechange automobiles appelé « SALAMATOUNA ». Ce nouveau dispositif a été mis en place par le ministère de l’Industrie et du commerce pour renforcer la lutte contre les produits contrefaits et assurer la sécurité des consommateurs. Il s’agit selon le département de tutelle, de labelliser les entreprises intervenant dans le circuit de distribution de la pièce de rechange, depuis sa mise sur le marché jusqu’à sa consommation finale. Le label s’applique aux constructeurs, importateurs, fournisseurs, distributeurs, revendeurs, détaillants et grossistes, commercialisant des pièces automobiles ou pièces de rechange destinées à tout autre véhicule.
« C’est un véritable coup de balai dans cette profession qui permettra de consolider une industrie de pièces de rechange locale moribonde et de diminuer les accidents de la route dus à des pièces défectueuses » », nous affirme un industriel qui depuis des années ne cesse de plaider en faveur de cette labellisation.
Le marché intérieur de la pièce de rechange, estimé à plus de 10 milliards de dirhams, est le deuxième marché le plus touché par la contrefaçon, après celui du textile, et se caractérise par une distribution informelle, la désorganisation de ses circuits de distribution et la mise sur le marché de produits contrefaits qui contribuent au bilan affligeant des accidents de la route.
Monsieur le Ministre, j’aimerais porter à votre convenance que dans ce même sujet »Salamatona » je souffre depuis l’achat d’un vehicule neuf chez Peugeot à Rabat que j’ai pye contant alos que le credit était à 0pour cent au Salon de Casa en mai 2008.
Ce vehicule est tombé en panne juste apres l’achat un dimanche a 14 km de Marrakech et la veille de mon retour àParis de Rabat. La maison de Marrakech qui a reconnu la defaillance dd’origine d’une piece de la boite à vitesse a mis une semaine pour la commander de CASA. Une première réparation qui n’a sevi à rien car mon fils qui a pris l’hetel 10 jours a falli laisser sa vie en la ramenant à Rabat car le frien à main se declanche tout seul sur l’autoroute. Il la fait reparer une deuxième fois chez Peugeot Rabat. Je rentre pde Paris en décembre 2008, la voiture tombe une troisième fois en panne je la ramene moi même pour la changer chez Peugeot Rabat qui refuse le changement alors qu’elle etait toujours sous garantie . La voiture se trouve toujours chez eux. Permettrez moi monsieur le ministre de vous demander d’intervenir car j’avais acheté cette voiture utilitaire de grande marque pour assurer les frequents voyages de mes 3 enfants tous etudiants en France et moi même à cette epoque et juste après le décès de mon mari pour eviter les nombreux billets d’avion. J’avais vendu mon merveilleux 4×4 Toyota âgé de 5ans qui ne m’jamais donné de soucis. Celui la neuf me met dans l’insécurité absolue.
Dr Bouderba Boulasri Amina