Pas encore remis d’une cuisante défaite électorale, voilà que Hafedh Caïd Essebssi, fils du Président de la République tunisienne, et accessoirement directeur exécutif de Nidae Tounes, repart en guerre contre le Premier ministre Youssef Chahed. Depuis plus d’une semaine, Hafedh Caïd Essebssi et ses « pistoleros » Borhen Bsaies, chargé des affaires politiques de Nidae Tounes, et Mongi Harbaoui son porte-parole, tirent à bout portant sur le Premier ministre, demandant purement et simplement son limogeage.
Le fils du Président ainsi que le groupe qui l’entoure savent qu’il ne pourra succéder à son père au Palais de Carthage si le populaire Youssef Chahed restait en position de se présenter. Il fallait par ailleurs que le clan qui dirige Nidae Tounes fasse oublier à l’opinion publique et au Président « la déconvenue électorale » dont ils sont en grande partie responsables. Mais ce stratagème mis en place, d’après des sources bien informées à Tunis, avec la bénédiction de la première dame Chadlia Saïda Caïd Essebssi, s’est heurté à l’opposition ferme des islamistes d’Ennahda, de l’union patronale UTICA et de la confédération des agriculteurs UTAP. Aussi bien les islamistes que les patrons ont fait savoir au président Béji Caïd Essebssi qu’un changement de gouvernement à un an des élections pourrait être un facteur de grande déstabilisation.
Malgré cette opposition, Hafedh Caïd Essebssi ne s’est pas laissé décanter. Il a réuni les députés de son parti et se livre à des pressions sur son père. La femme du président lui serait d’un grand secours. D’après un membre éminent de Nidae Tounes, Chadlia Caïd Essebssi voudrait coûte que coûte écarter Youssef Chahed de la Kasbah. « Elle est convaincue que si son mari ne se représente pas en raison de son âge avancé, c’est son premier ministre qui le fera à sa place au détriment de son fils », explique à Maghreb Intelligence un habitué du Palais de Carthage. Une perspective qui est loin de l’enchanter, ainsi que la ribambelle de courtisans qui tournent autour.
Nidaa Tunis,a été crée par Beji Caied essibssi,dans une periode ou 90 pour cent des Tunisiens etaient dans le désarroi total,et dans la crainte de perdre leurs acquis,tellement convoités par d’autres pays Arabes.Nous avons travaillé dur ,et principalement les femmes,pour faire de ce parti un rassemblement ,toutes tendances confondues,mais soudé et patriote.malheureusement cet enthousiasme s’est transformé en cauchemar,et le parti a ete vidé de ses bons éléments et il est tombé entre les mains de prédateurs et courtisans,qui ne pensent qu’a leur survie.Demain il fera jour,il faut garder espoir
La volonté de Hafedh Essebssi à limoger Youssef Echahed est animée par la haine, n’a aucun argument déterminant.
C’est la manière de persévérer à la destruction de notre chère Tunisie en éliminant les compétences et projetant les boiteux politiques au devant de la Seine..
Il aurait été plus judicieux que Hafedh Essebssi lui même disparesse de la seine politique…
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C’est du n’importe quoi!c’est exprimer, de façon à peine voilée, sa haine envers Nidas Tounis.Tous omettent le rôle qu’a joué BCE POUR SAUVER le pays des griffes des salafistes & des khouangias
Demain il fera jour quand le vieux loup et son dingo de fils ne seront plus la.
BCE est un cupide opportuniste qui a surfé sur la vague du mecontentement du peuple pour realiser son reve de toujours arriver a carthage
Souad : La crainte de perdre leurs acquis tellement convoités par d’autres pays arabes ! De quels acquis et quels pays arabes vous parlez . La tunisie a servie de base pour envahir la lybie avec la complicite directe de beji caid sebsi, l’hiver arabe que vous appelez le printemps a detruit toutes les republiques nationalistes au profit de sorros mac cain qatar et leurs mercnaires islamo facistes . Beji caid sebsi le sarde est un des fossoyeurs de la nation. Les lybiens ferons payer un jour a ce vieux traitre
A 82 ans,il m’étonnerais fort que Chadlia ait le moindre intérêt pour la politique…Vous rêvez éveillé !