Par Caterina Lalovnovka
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L’Etat-major des forces armées égyptiennes est sur les dents. Les hauts gradés multiplient les réunions autour du président Abdelfattah Al-Sissi et du ministre de la Défense, le général Sedki Sobhi. Sur la table, les options militaires envisagées pour contraindre l’Ethiopie à discuter de la répartition des eaux du Nil après l’achèvement du barrage de la Renaissance. Le Caire s’est à maintes reprises plaint auprès des Etats-Unis et d’Israël de la non-coopération d’Addis-Abeba, laissant entendre que l’Egypte n’avait plus d’autres choix qu’une intervention militaire pour empêcher l’entrée en fonction du barrage. Ces derniers jours, le président Al Sissi aurait rencontrer le chef d’Etat-major, le lieutenant-général Mahmoud Hegazy, en présence du commandant des Forces aériennes, le général Younes Hamed, ainsi que du vice-amiral Ahmed Khaled Hassan, patron de Marine. L’objectif serait d’échafauder un plan visant à infliger de sérieux dommages au barrage éthiopien, sans pour autant totalement le détruire. Selon des sources militaires israéliennes, deux scénarios seraient envisagés: le premier consisterait en des frappes aériennes chirurgicales par un escadron d’avions de chasse F16 et de trois Rafales, assistés par des drones. Seules les installations électriques et d’ingénierie seraient ainsi visées, et non la structure même du barrage; le deuxième scénario, plus audacieux et plus difficile à exécuter de l’aveu même des égyptiens, viserait à infiltrer des membres des forces d’élite dans la région, non loin de la frontière soudanaise. Cela implique que Khartoum ferme les yeux sur le largage de forces spéciales constituées d’éléments de la brigade 777 et de parachutistes, et sur les opérations de récupération une fois leur mission achevée.
La posture belliqueuse des dirigeants égyptiens à propos du barrage de la Renaissance serait due au harcèlement dont fait l’objet aujourd’hui le général Al-Sissi de la part de l’ancien chef d’Etat-major le général Sami Anan, du général Ahmed Chafik et même du président déchu Hosni Moubarak. «Avec la cessation impopulaire des deux îles de Tirane et Sanafir à l’Arabie Saoudite, le régime est acculé à un baroud d’honneur. Une aventure militaire en Ethiopie paraît malheureusement inéluctable pour sauver la face », s’alarme un diplomate arabe bon connaisseur des arcanes du pouvoir égyptien.
Ça serait une grande erreur de la part de l’Egypte car ça ne serra pas contre l’Ethiopie seulement qu’il se battrait…mais contre l’Afrique entière. La source du Nil la plus éloignée se trouve au Burundi, passe par le Rwanda, l’Ouganda…Et si tous ces pays décidaient de priver l’eau à l’Egypte, il les attaquerait aussi? Vu la distance je ne vois pas comment et ces pays ont des bonnes relations avec l’Ethiopie. En plus ce n’est pas en détruisant un barrage qui va électrifier l’Ethiopie, le Soudan, le Kenya…que ça va arranger les choses. L’Egypte ferait mieux d’y penser à deux fois avant de commettre une erreur monumentale. Sans parler que l’Ethiopie ne se laissera pas faire, et si comme je pense elle rend coup pour coup…c’est des milliers de réfugiés et de morts qu’il va y avoir. L’Afrique a assez souffert, il est temps d’arr6eter les conneries.
L’Egypte sans le Nil et les eaux du Nil ne serait plus. Si le barrage envisagé par les Ethiopiens réduit le débit du Nil, les Egyptiens sont en droit de réagir. Faut-il rappeler que si le renversement du Président islamiste Morsi et des Frères Musulmans par le Général Sissi et l’armée a été si aisé et que la population s’est levée en masse contre eux, c’est principalement parce qu’elle était remontée contre leur passivité devant le projet de rétention des eaux du Nil par les Ethiopiens.
Quel droit ont-ils ? Cette eau vient de l’Egypte ? Que l’Egypte se contente des eaux de pluie qui tombent sur son territoire, car le Nil n’est pas sa propriété privée. Au lieu de négocier l’Egypte veut employer la force, je crois que toute l’Afrique Noire s’alignera derrière l’Ethiopie. ON en a marre de se faire marcher dessus tous les jours. L’Ethiopie a mon soutien.
Sellami Ahmed l’Ethiopie a assurée à l’Egypte qu’elle aura sa quantité d’eau. Que faut-il encore à l’Egypte? Pense-t-elle que c’est en attaquant l’Ethiopie qu’elle va avoir cet eau? Il faut vraiment être bête pour raisonner de la sorte. Mais bon ça ne m’étonne pas de la part de l’Egypte…un pays qui cède ses terres à l’Arabie Saoudite…si ça ce n’est pas être malade, j’aimerais que l’on m’explique. Elle voudrait attaquer l’Ethiopie? Soit, mais qu’elle se prépare à livrer une guerre contre toute l’Afrique noire car c’est ce qui va se passer.
I think Egypt is signing its « death warrant » as I doubt the Ethiopians will sit idly for the Dam is financed by the ppl and not foreign banks or World bank. Egypt can ill afford to alienate them. It is like biting the hand which feeds you. What if the Ethiopians reciprocate, god forbid! Buyer beware. Better think many times before a bravado of biblical proportions!
L’ethiopie pourrait par représailles contre l’egypte empoisonner tout le nil en aval de l’ethiopie et surtout le stock d’eau du lac nasser….
Cette option est elle realisable en utilisant des déchets nucléaires par exemple…?
L,eau est primordiale et cela en tant de paix et aussi sur le champ de bataille en bien des lieux croiront-on et en plus ceci dit on y voit toutes sortes de ruptures entreprendront et pour concilier c’est la guerre en n’en plus finir. Donc le but ultime de ces ressortissants d’Ethiopie en ces lieux du barrage de la reconnaissance et du déploiement de leurs forces et du territoires dirais-je pour y agrandir leur soif de ce contenu soit-il guerre ou insurrection et plus y-a-t-il oui ou non un moment de paix et en faveur du mieux que les deux partis pourraient en tirer pour la cause des allies et le fruit des deux pays voisins il y a renaissance ou pas et je vois cette possibilité il y a bon espoir pour y travailler en nos terres communes pour le bien de tous et de laisser aux nations du monde connues alors le résultat espérer des meilleurs ententes de paix et du patrimoine et du respect humain et cela chez nous et non la tète ailleurs pour le moment et laissons nos préjugés et nos fascinations ou non griefs qui résulteraient de l’ivraie en nos eaux et assiettes au menu.