Sur le papier, l’Algérie aurait tout d’une destination touristique de rêve, pourtant ce grand pays du Maghreb n’arrive pas à attirer plus de 2,5 millions de visiteurs étrangers par an dont la plupart sont issus des Algériens résidant à l’étranger. Selon les observateurs, plusieurs raisons sont derrière le retard de l’Algérie par rapport au Maroc et à la Tunisie voisins qui accueillent respectivement 13 et 9 millions de touristes par an.
La principale raison pour laquelle l’Algérie traîne le pas sur le marché touristique et soit la moins visitée au monde, et que ce pays demeure très difficile d’accès. Alger impose aux éventuels touristes désireux d’obtenir un visa des conditions draconiennes comme une invitation d’une agence locale, des billets d’avions, réservation d’hôtels, une assurance entre autres. Des conditions hautement sécuritaires pour filtrer les visiteurs indésirables. Des lourdeurs dans les procédures d’octroi des visas qui découragent les potentiels candidats pour un séjour touristique, et font que le taux de refus des visas avoisine les 30%, ce qui constitue selon les observateurs un « record mondial ».
Sur le plan de la promotion de la destination Algérie, les autorités de ce pays n’ont à aucun moment défini une stratégie claire pour enclencher la machine touristique. La quasi absence de grandes campagnes dans les médias internationaux et dans les espaces publics des grandes capitales mondiales, ainsi que la timide présence dans les grands salons pénalisent le produit algérien.
Le tourisme n’a jamais été une priorité pour un pays recroquevillé sur lui-même et vivant principalement de la rente pétrolière et gazière. D’ailleurs, le ministère du Tourisme reste le parent pauvre de la Loi des finances. Le budget alloué au secteur est en constante baisse et les projets structurants comme les zones d’expansion touristique et les grands complexes hôteliers ne sortent pas des cartons.
Un autre grand handicap pénalise la destination. Ce sont les infrastructures aéroportuaires adaptées. Selon les tour-opérateurs internationaux, l’Algérie est très en deçà des standards internationaux, tant en quantité qu’en qualité. En dehors d’Alger, les aéroports des autres villes notamment dans le Sud du pays sont vieillissants et mal desservis. C’est le cas aussi de la capacité hôtelière, qui avec à peine 110 000 lits disponibles dans des établissements souvent vétustes, mal répartis et peu diversifiés, est loin de rivaliser avec les capacités proposées par Tunisie et le Maroc trois à quatre fois supérieures.
La réticence d’une frange conservatrice de la société algérienne voyant d’un mauvais œil l’arrivée de visiteurs perçus comme « impudiques » freine également le développement touristique algérien. Dans certaines régions reculées du pays, les comportements des touristes sont vécus comme une agression des valeurs traditionnelles. D’où l’apparition de prêches hostiles dans les mosquées, des tags anti-touristes sur les murs et parfois même des agressions verbales ou physiques enregistrées.
C’est pas des touristes qui vont au Maroc, c’est des pédophiles et obsédés sexuels. Dans le temps les français ont créé Bousfir, les Marocains développé Marrakech en bordel pour les français.
https://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/05/23/prostitution-a-marrakech-ici-c-est-vice-city_4924929_3212.html
2,5 millions de visiteurs étrangers par an ? lol. Sur ces 2,5 millions de visiteurs, 99 % sont des algériens d’origine. Soyons sérieux quand même !!!
Le pouvoir fait tout pour détruire le tourisme, car sa doctrine c’est isoler les citoyens Algériens et les braquer contre le étranger pour bien aliéné ce peuple et les lobotomiser avec leurs propagande interne.
De même le sabotage inouï de tout partenariat avec la France où l’Europe sous prétexte que la France n’a pas demandé pardon pour ses crimes alors que en même temps sur les 900 anciens ministres vivant, 815 vivent à Paris avec une retraite nette de 11 000 Euros versé par Alger grâce à l’argent du pétrole. Pour le pouvoir L’Algérie ne doit pas se développer et le peuple doit rester dans la misère, le dénuement et la privation.demandé pardon pour ses crimes alors que en même temps sur les 900 anciens ministres vivant, 815 vivent à Paris avec une retraite nette de 11 000 Euros versé par Alger grâce à l’argent du pétrole. Pour le pouvoir L’Algérie ne doit pas se développer et le peuple doit rester dans la misère, le dénuement et la privation.
LA COREE DE L’AFRIQUE DU NORD…