Au moment où le Maroc vit de grands chamboulements, les islamistes au pouvoir semblent avoir d’autres chats à fouetter. Un député du PJD vient de saisir carrément le ministre de l’Intérieur, via une question écrite, pour l’interroger sur les règles régissant l’organisation des fêtes de mariage.
Mouard El Gourch, l’élu islamiste en question, affirme dans sa question que les fêtes de mariage se déroulaient parfois jusqu’à des heures impossibles et que cela s’accompagnait souvent de l’occupation de l’espace public avec des tentes dressées pour l’occasion. Sauf que, note l’élu, les autorités sont intervenues récemment à deux reprises pour interdire deux fêtes du genre, mais sans apporter de précision.
Le parlementaire islamiste aurait juste du demander à n’importe quel agent d’autorité ou à un élu communal au lieu de se donner toute la peine de saisir le ministre de l’Intérieur et avec lui, comme le veulent les règles, le bureau de la Chambre des représentants.
Il faut voir le plus important des maisons de jeunesse pour remplir le vide des jeunes ? ????
Les mariages en ville constituent une pollution sonore l’état doit arrêter cette pollution à partir de 10 du soir.
vraiement le deroulement des mariages surtout dans les quartiers tres peuplés causent beaucoup de problèmes pour les citoyens voisins car ils n ont d heures fixes en utilisant les hauts parleurs ces fêted durent toute la nuit jusqu au l aube ce qui cause d énormes dérangements pour les gens malades les enfants les gens qui travaillent et même pour led retraités… Quand vivre sans bruits des hauts parleurs jusqu au l aube ces citoyens ont ils le droit de dormir sans ces derangements néfastes et barbares incroyable mais vrai les uns dorment les autres à leurs côtés crient et utilisent les hauts parleurs durant toute la nuit si cela passe en France par exemp. il y aura bcp de fisillades la nuit à cause de cette barbatie et comportement malsain…ceux qui désirent leurs mariaged ils n ont sue le faire durant la journee ou des sales spécialisees afin de mettre fin à ces bruits scandaleux …