Algérie : Qui sont ces haut-gradés qui ont survécu à « l’hécatombe des généraux » de l’Armée Nationale Populaire ?

Par Caterina Lalovnovka
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Commentaires

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  • Fares septembre 20, 2018 à 18:25

    Analyse pertinente

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  • Ains Mourad septembre 20, 2018 à 19:43

    La réponse est simple. Celui qui a relevé ces officiers ne peu pas être le clan présidentielle ni Gaide salah. C’est belle et bien les jeunes officiers qui sont entrain de démanteler l’ancien système hérité de l’air colonial et placé un nouveau régime indépendantiste

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    • Le proc septembre 21, 2018 à 09:21

      Salam; je ne crois pas trop à la thèse de jeunes officiers imposant ces changements ; l’âge des nouveaux venus est du même ordre que celui des partants.

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  • Akeb septembre 21, 2018 à 08:33

    Dans l’opacité totale, il est hasardeux d’emlettre un quelconque point de vue.. et si ce n’était que de la diversion ???

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  • Malek Hachache septembre 23, 2018 à 02:47

    La démocratie naissante a plus besoin d’une stabilité présidentielle pour consolider les institutions naissantes pour un état de droit et c’est pour cette même raison de stabilité que les institutions naissantes ne survivront aux Hommes que si le départ de leurs dirigeants est sans incidence sur leur fonctionnement non personnalisé.
    Avoir des institutions fortes ou nul n’est indispensable est une prière condition dans un état de droit…Bouteflika restera dans lhistoire si L’Algérie devient avant son départ un etat de droit avec des institutions ou nul n’est indispensable pour assurer l’ordre ,la sécurité, la justice et le respect des droits humains.

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  • Malek Hachache octobre 31, 2018 à 03:05

    L’Algérie est entrain de se faire avec la concrétisation de ses institutions qui sont les fondement d’un futur état de droit ou nul n’est indispensable quand les responsables partent les institutions continuent de fonctionner dans le respect des lois et des libertés fondamentales

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    • Leprof octobre 31, 2018 à 21:20

      Salam
      Primo : stabilité ne signifie pas attentisme;
      Deuxio : à l’échelle d’une NATION , ce qui est transmis est une culture .Bâtir des institutions pérennes nécessite une culture POLITIQUE .que celà soit voulu ou non , cette culture est inexistante chez nous.

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