L’image est forte et symbolique. Lors des funérailles du général à la retraite Mohamed Attailia, décédé samedi à l’hôpital militaire de Aïn Naadja, surnommé le Val-de-Grâce algérien, Saïd Bouteflika et le Vice-ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), Ahmed Gaïd Salah, ne se sont pas quittés. Poignées de main chaleureuses, accolades et sourires devant les caméras de télévisions, Saïd Bouteflika et le général le plus puissant en Algérie se sont affichés comme de grands amis.
La mise en scène est soigneusement étudiée et le choix du cimetière d’El-Alia d’Alger est plus que symbolique. On enterre nos différends pour aborder la nouvelle année qui approche. En vérité, ces derniers mois, un froid glacial avait caractérisé les relations entre les deux hommes. Le frère et influent conseiller d’Abdelaziz Bouteflika en voulait beaucoup à Ahmed Gaïd Salah lors de l’épisode Tebboune, l’ex-premier ministre limogé le 15 août dernier. Gaïd Salah fait partie des décideurs qui ont motivé Tebboune à s’en prendre à l’entourage de Saïd Bouteflika et ses amis pour réduire l’influence du frère du chef de l’Etat.
Ahmed Gaïd Salah représente l’un des rares contre-pouvoirs existant encore en Algérie. Si officiellement il prête allégeance à Abdelaziz Bouteflika, le vieux général dispose de ses hommes, impose ses ministres au gouvernement et a son mot à dire sur les principaux projets politiques en Algérie. Il manoeuvre pour protéger ses intérêts et de nombreux décideurs de l’institution militaires lui sont d’une grande fidélité.
Mais son poids n’est plus aussi important sur l’échiquier politique. Cerné de toutes parts par les membres du clan présidentiel, il a été contraint de revoir sa position par rapport à Saïd Bouteflika. Il est désormais obligé d’accepter son rôle prépondérant et n’a pas d’autre choix que de prendre la main tendue par le frère du président pour aborder les futures échéances du pays.
Les retrouvailles de Saïd Bouteflika avec Gaïd Salah en présence de hauts responsables de l’Etat et d’officiers supérieurs de l’ANP marquent donc un nouveau chapitre politique. Une répétition générale avant la décision finale pour l’élection présidentielle de 2019 où l’armée risque d’être appelée à tolérer, voire appuyer, un cinquième mandat de Bouteflika.
Vous allez tous mourir.
Bon jour il sont tous impliqués dans les crime commis les un contre l’humanité les autres économique sais Bouteflika a limoger général toufik avec l’accord de gaid salah entre temps said tiens gaid salah par chantage il ce conjugue entre eux le verbe tombée dans tous ces sens le facteur commains entre eux il sont bisexuel il tomberont tous bientôt comme un châteaux de carte
Il existe en francais une grammaire ou la ponctuation donne un sens à l ‘ecrit.Il y aussi la lettre s pour signifier le pluriel.Votre commentaire est incomprehensible à l’image de la politique Algerienne.
L’algerie
Si l’armée couche maintenant devant said Bouteflika,l’Algérie est dans le précipice.
Je me demande pour quoi critiquer toujours le pouvoir ils faut voir devant vous critiquer vous même Régnier vous même dans vous vie dans vous maison et vous verrait que c’est pas facile donc l’essai les autres faire ce qu’ils fallait fère avec confiance comme se c’était vous
Pauvre Algérie condamnée à souffrir de tous les maux par la faute d’une poignée de mafieux qui la gouverne qui souffrent le chaud et le froid selon les circonstances…