Par Skandar Salhi
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D’ici fin janvier 2018, l’Algérie devrait connaître le retour d’un certain nombre de hauts responsables politiques sur la scène publique. Un retour qui coïncide avec le lancement des préparatifs de la campagne pour l’élection présidentielle de 2019. Une campagne qui devrait, selon toute vraisemblance, voir Abdelaziz Bouteflika candidat à un cinquième mandat successif.
Toutes ces luttes de clans et ce tohu-bohu de l’été dernier marqués par l’éviction brutale et surprenante d’Abdelmadjid Tebboune, ne devrait pas empêcher Abdelaziz Bouteflika de briguer à nouveau la magistrature suprême, même si aucune décision n’a encore été officiellement prise. Toutefois, Abdelaziz Bouteflika est un habitué du suspense et son entourage a toujours su comment tenir en haleine l’opinion publique algérienne et internationale avant d’annoncer les grandes manoeuvres.
Le cinquième mandat ne sera guère comme le précédent. Il s’agit d’une opération nettement plus compliquée et les enjeux sont infiniment plus complexes parce qu’ il sera difficile de faire une nouvelle fois avaler la pilule aux Algériens, qui ne croient plus au statu-quo comme solution, notamment en cette période de crise financière. Le clan présidentiel pense, dans ce contexte, à préparer un véritable plan de marketing politique pour faire accepter aux Algériens un énième mandat d’un Abdelaziz Bouteflika malade et affaibli. Et pour ce faire, le clan présidentiel va regrouper autour de lui l’ensemble des personnalités politiques marquantes du pays. Cela passe par la réhabilitation de tous les anciens hauts responsables qui ont été sanctionnés et éjectés lors du remaniement ministériel décidé à la fin du mois de mai dernier. Un retour aux commandes de Sellal, Bouchouareb, Amara Benyounès, Amara Ghoul et les portes ouvertes aux partis de l’opposition comme le MSP et le RCD ainsi que le FFS, voilà la nouvelle feuille de route dessinée par Saïd Bouteflika et les autres conseillers du vieux et redoutable Abdelaziz Bouteflika. Un cinquième mandat placé sous le signe d’un partage plus large des pouvoirs en offrant des postes ministériels et davantage de largesses aux opposants, la tactique se met soigneusement en place au palais d’El-Mouradia pour négocier le très délicat virage de l’élection présidentielle de 2019.
Un virage qu’il faudra bien négocier au risque d’y laisser des plumes dans le camp présidentiel. Et Abdelaziz Bouteflika, même malade, en a parfaitement conscience.
Oh la honte si ils osent faire ç a c’est qu’ils ont vraiment du toupet !et qu’ils prennent le peuple pour des autruches oh la honte quelle sera notre crédibilité aux yeux du monde entier si cela arrive et est ce qu’on pourra dormir l ‘œil fermé Après ça ?!qu’en sera t’il de ce pays qu’une bande de rapaces manipule et le plus dur a admettre ou est le peuple dans tout ça ?un peuple comme un croque mort qui a pour ultime et lâche excuse la décennie noire !et trop lâche pour avouer sa peur oui!disant le haut et fort on est des trouillards .
Ce jour là, je prononcerait mon appartenance au MAK sans hésitation. Je le jure devant Dieu.
Je n’ai jamais voté pour la simple raison que ce n’est pas le peuple qui a le dernier mot ni le premier d ailleurs et je ne voterai jamais pas comme certain qui se proclament nationaliste et les faux moudjahidins ce n’est pas en votant qu’on va changer quoi que ce soit si ils avaient un tant soit peu d’amour pour ce pays personne ne voterai pour démasquer cette bande de salopards said bouteflika et compagnie quand je vois le jour du vote des gens qui partent voter avec un air «oh mon dieu j’ai accompli un miracle !»ignards qu’ils sont j’ai la rage et j’ai envie d’aller leur casser une jambe .j’ai toujours dis hamdouallah que c’est pour cette terre que nous restons pas pour les gens si non je serai déjà parti .
Pourquoi lui spécialement. N y a t il que lui; D autres compteraient pour du beurre. Lui a permis l expansion de la fraude et de la corruption au point ou il y a plus de 800 000 algériens qui ont quitte le pays depuis 2002 Pas d Etat de droit pas de séparation des pouvoirs; partis islamistes alors que la constitution l interdit;ministères des moudjahidin e et des affaires religieuses inutiles – de simples offices suffiraient-.C est une vielle poliotique on fait miroiter l appat mais en fait il n en sera rien ni le RCD ni le FFS ni aucune autre personnalité ne peut influer sur un régime qui se dresse comme un mur et composé de filous fraudeurs corrompus …
Vous ne voulez pas voter pour celui qui incarne l’Algérie !
Bouh alikoum
J’espere que ca n’arrivera jamais
la lutte des clans se trouve dans une impasse. vu cette situation, il vont faire la réconciliation de leurs hommes de mains écartés par ingratitudes des services rendus.Les vrais personnalités patriotes et nationalistes n’ont jamais été sollicités et ont toujours dénoncé la mauvaise gouvernance des hommes demain du clan présidentiel.la seule solution ,il faut que l’armée prenne le pouvoir et instaure ce que le peuple désire depuis l’indépendance: » une justice indépendante » » une démocratie spartiate » » une législation basée sur l’échelle des valeurs et la compétence » » l’éducation et l’enseignement moderne loin de toute surenchère politique …etc.
Pauvre Algérie???
Je ne crois pas au 5 mandat.
la photo illustre bien » L IMPOSSIBILITE D UN impossible 5eme mandat! » Non ce n est pas possible ! Boutef dans l etat ou il est ne peut etre en mesure de decider de se porter candidat ! son etat est tel qu il ne lui viendrait jamais a l esprit une telle intention …de nombreux indices confortent ceux qui estiment qu il devrait se reposer et s eloigner definitivement du pouvoir et de ses jeux de coulisses…
S’il y a un peuple. Il ne laissera jamais faire ça !
Vous croyez sincèrement ce que vous écrivez !