Les conseillers du président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz voulaient lui organiser une grande interview avec l’un des grands quotidiens parisiens. [onlypaid]
La préférence des Mauritaniens allait vers le Figaro ou Le Monde. Cependant, les deux prestigieux titres auraient poliment décliné les avances des conseillers du général Aziz. Ce dernier a dû se rabattre sur l’hebdomadaire Jeune Afrique qui ne lui a finalement consacré que deux pages, alors que d’habitude les entretiens avec les chefs d’Etat prennent plus de place. Autre manque de courtoisie que le général Aziz a été obligé d’accepter, a été la réalisation de l’interview par une simple journaliste de la rédaction et non par les habitués à ce genre d’exercice, à savoir François Soudan ou Marwane Ben Yahmed. C’est dire que la marge de manœuvre médiatique du président mauritanien n’arrête pas de rétrécir.[/onlypaid]
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