L’Association des Etudiants Marocains de France (AEMF) vient de marquer un grand coup en organisant le 9 juin prochain au Sénat Français une conférence dédiée aux « chantiers stratégiques au Maroc ». [onlypaid]
C’est la première fois depuis l’avènement du gouvernement dirigé par l’islamiste Abdelilah Benkirane et l’élection de François Hollande qu’un évènement de ce niveau se dessine, de surcroit au sein du parlement Français . Ainsi, le premier qui se déroulera dans la matinée verra la succession d’un véritable aéropage de personnalités côté marocain avec la participation du ministre de l’Industrie et du Commerce Abdelakader Amara, Moulay Hafid Elalamy, PDG du groupe Saham, Abdelmalek Alaoui, le Président de Global Intelligence , ou encore la banquière Fatine Layt , qui officie chez ODDO & CIE . L’hexagone économique ne sera pas en reste avec le très « maghrébophile » Stève Gentili, président de la BRED Banque populaire ou Thiery Courtaigne, vice-président du MEDEF International. Une participation relevée qui planchera sur les défis économiques que le Maroc est appelé à relever. Cependant, plusieurs observateurs ont noté une « verrue » lors du deuxième panel qui se déroulera dans l’après midi, et qui traitera de la nouvelle constitution adoptée en juillet dernier par le royaume chérifien. Outre les habituels politologues et analystes conviés, une figure controversée de l’ancien gouvernement devrait y participer. Il s’agit de Khalid Naciri, l’ancien ministre de la Communication qui n’était pas franchement populaire chez les journalistes de son pays, en raison notamment de plusieurs déclarations intempestives contre les organes de presse du Royaume. Naciri était surnommé « Khalidoff » par la Twittomma (communauté Twitter marocaine) marocaine, en raison notamment de son ton qui n’aurait pas déparé la « Pravda », journal officiel soviétique. [/onlypaid]
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