Par Maghreb Intelligence
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Malgré sa nomination au poste de ministre des Affaires étrangères, Moussa Koussa est resté le principal interlocuteur du colonel Kadhafi en matière de renseignements extérieurs.
A chaque fois d’ailleurs qu’Al-Mouatassem Billah Kadhafi, chef du Conseil de sécurité nationale (supervisant tous les services de renseignements libyens), transmet une note à son père, ce dernier lui demande de plancher dessus avec Moussa Koussa.
De son côté, Abou Zeid Dourdah, qui a remplacé Koussa à la tête des services de renseignements libyens, passe presque la majorité de son temps au ministère des Affaires étrangères pour prendre conseil auprès de son prédécesseur qui lui prodigue ses conseils, tout en mettant bien entendu le guide de la révolution au parfum. Koussa, qui, par le passé, s’est éloigné des différents clans du pouvoir, veut aujourd’hui prendre ses distances avec les fils de Kadhafi qui ne cachent pas leurs ambitions pour la succession du guide.
Ainsi, à chaque fois que qu’un des prétendants fait savoir que Koussa le soutient, c’est le colonel Kadhafi en personne qui monte au créneau pour démentir et envoyer des messages clairs aussi bien au Haut commandement qu’aux dirigeants des Comités révolutionnaires qui considèrent toujours l’ancien patron des services de renseignements extérieurs comme leur bête noire.
A chaque fois d’ailleurs qu’Al-Mouatassem Billah Kadhafi, chef du Conseil de sécurité nationale (supervisant tous les services de renseignements libyens), transmet une note à son père, ce dernier lui demande de plancher dessus avec Moussa Koussa.
De son côté, Abou Zeid Dourdah, qui a remplacé Koussa à la tête des services de renseignements libyens, passe presque la majorité de son temps au ministère des Affaires étrangères pour prendre conseil auprès de son prédécesseur qui lui prodigue ses conseils, tout en mettant bien entendu le guide de la révolution au parfum. Koussa, qui, par le passé, s’est éloigné des différents clans du pouvoir, veut aujourd’hui prendre ses distances avec les fils de Kadhafi qui ne cachent pas leurs ambitions pour la succession du guide.
Ainsi, à chaque fois que qu’un des prétendants fait savoir que Koussa le soutient, c’est le colonel Kadhafi en personne qui monte au créneau pour démentir et envoyer des messages clairs aussi bien au Haut commandement qu’aux dirigeants des Comités révolutionnaires qui considèrent toujours l’ancien patron des services de renseignements extérieurs comme leur bête noire.