Pour la première fois dans l’histoire du Maroc, et pour la formation du futur gouvernement que dirigera Aziz Akhannouch, aucun parti politique ne semble tenté par le ministère de la Justice.
Selon nos sources, les partis qui risqueraient de former la coalition du président du RNI lorgnent les départements à caractère social comme l’Enseignement ou encore la Santé. Mais aucun d’entre eux ne semble chaud pour diriger celui de la Justice.
Depuis les multiples réformes de la justice engagées au Maroc, ce ministère, occupé actuellement par le socialiste Mohamed Benabdelkader, est considéré comme un département «non rentable en voix électorales».
«Les affaires et la carrière des magistrats sont gérées par le Conseil supérieur du pouvoir judiciaire que dirige Mohammed Abdennabaoui et on a un ministère public que chapeaute Moulay El Hassan Daki», explique un cadre du ministère.
Face à ces deux institutions, et à leurs hommes forts, le ministre de la Justice s’en trouve réduit à gérer quelques aspects administratifs, suivre la construction de tribunaux et à se chamailler avec les syndicats. Voire subir les humeurs des parlementaires puisque les deux responsables précités ne mettent jamais les pieds au Parlement.
Selon toute vraisemblance et d’après les échos provenant de Rabat, le gouvernement Akhannouch sera une équipe ramassée et une coalition composée du RNI, du PAM et du PI.
De toutes les manières, nous serons fixés la semaine prochaine après la tenue, à partir de ce vendredi, des conseils nationaux du PAM, de l’USFP et du PI.
Le pam inexpérimenté dans la gestion publique risque de déséquilibrer la formation RNI PI d autant plus que le PAM a rapproche le PJD pour une future alliance. tablant sur la réussite éminente du PJD ,le pAM a prouve ses limites visionnaires.Le PAM d antan est loin de celui d aujourd’hui. monsieur le premier ministre devrait bien réfléchir avant de retenir le parti du tracteur.
pas adhèrent a aucun parti mais je préfère le parti (RNI) pour d abord pour son programme ambitieux et les compétences de ses hommes.