L’USFP, parti porte-étendard de la gauche marocaine pendant de longues années, n’en finit pas d’engranger les gains et cela paradoxalement depuis qu’il a dramatiquement dégringolé dans les différentes élections qui ont eu lieu depuis 2007.
Les enfants chanceux des principaux dirigeants du parti socialiste ont été propulsés à des postes très importants dans des entreprises étatiques. C’est le cas de la fille de Driss Lachgar, l’actuel premier secrétaire de l’USFP, qui occupe aujourd’hui le poste -fort lucratif- de directeur Adjoint en charge de la planification financière à CDG Développement. Khaoula Lachgar a atterrit à CDG Développement après avoir débuté sa carrière à Bank Al-Maghrib.
Le fils d’un autre dirigeant historique de l’USFP a lui aussi bénéficié d’une promotion stratosphérique. Omar El Yazghi, fils de l’ancien premier secrétaire du parti, a été propulsé au très envié poste de président de directoire de MEDZ. Avant cette nomination, on ne connaissait pas au fils de Mohamed El Yazghi un parcours de gestionnaire hors pair.
Aujourd’hui, c’est à la SNRT que l’USFP s’impose. Bissane Khaïrate, fille du très controversé Abdelhadi Khaïrate, ancien député et ex secrétaire général de la Chabiba Ittihadia, devient la véritable « dame de fer » de la Société nationale de radiodiffusion et de télévision. Diplômée de l’ENCG Settat, Elle a vite été repêchée dans la direction marketing du média public, avant de devenir directrice marketing est puis d’être intronisée patronne de la programmation et du marketing de la SNRT, alors que d’autres cadres plus méritant ont été poussés vers une voie de garage.
Malgré ces performances anecdotiques lors des diverses élections et de sa petite audience auprès des Marocains, l’USFP démontre encore une fois que c’est un parti de réseaux qui peut contraindre les dirigeants des plus importantes entreprises étatiques à faire de la place aux rejetons de ses dirigeants. Vous avez aimé les papas, vous allez adorer les enfants. Une véritable alternance qui est loin d’enchanter les Marocains.
Un pays de clientélisme orchestré par le Palais royale de « Ahlu Charaf » de corruption des tribus d’arabe et des usurpateurs par excellence du pouvoir en Amerruk Amazigh depuis le noir Ali ben chérif el Marrakchi, devenu alaoui par son prénom
Un pays de clientélisme orchestré par le Palais royale de « Ahlu Charaf » de corruption des tribus d’arabie et des usurpateurs par excellence du pouvoir en Amerruk Amazigh depuis le noir Ali ben chérif el Marrakchi, devenu alaoui par son prénom et « Chérif » par le prénom de son père
la gauche qui defend la veuve et l orphelin le pauvre et le laisse pour compte l internationale et les lendemain qui chantent
les muslims du PJD avec la legitimite du coran et la droiture du prophete comme bouclier tous pris la main dans le sac
misérables mentalite népotistes et tier rmondiste decidemen plus largement t le maghreb et le monde arabe ne change pas pendant ce temps la les vrai compétences vegetent
heureusement que la monarchie existe au Maroc pour cadrer tous ces gredins
que les afficionados de la republique au Maroc en prennent de la graine
sans la monarchie et avec tous les chacaux aux aguets prêt a tuer père et meres pour le pouvoir on seraient pas loin de la somalie
vive le roi
je me rappelle bien de Driss Lachgar.. je l’avais vu en 2001 ou 2002 au quartier Youssoufia, j’avais à peine 5 ans ou 6 ans mais je me rappelle très bien de lui.. il a ouvert le coffre de sa voiture et le coffre était bourré de dossiers, puisqu’il était toujours avocat et n’était pas encore arrivé à être numéro 1 de l’USFP.. d’ailleurs lui il a grandit dans ce quartier et c’est ce quartier qui lui a permis d’être après à la tête du parti..(l’USFP est bien enraciné là-bas!).. même son fils Hassan se présentera dans ce quartier pour les prochaines élections de Septembre 2021.