Dans une enquête publiée sur le site américain Foreign Policy News, l’avocate et analyste en affaires diplomatiques basée à New York, Irina Tsukerman est revenue longuement sur le cas d’Omar Radi poursuivi au Maroc pour viol ainsi que pour avoir accepté des fonds d’un agent étranger.
L’analyste qui intitule son enquête « « Comment la conspiration des ONG de défense des droits de l’Homme et de politiciens marocains a vicié l’affaire Omar Radi ? » affirme que « de nouveaux détails importants sont apparus suite aux derniers rebondissements dans l’affaire Omar Radi et ont permis à l’histoire, de plus en plus compliquée, d’être perçue sous un autre angle ».
Selon Irina Tsukerman, les nouveaux faits révélés sont « choquants » et montrent « la face cachée des ONG censées défendre les droits de l’homme ». Amnesty International qui s’acharne depuis cinq ans à poursuivre en justice NSO, a finalement été déboutée par la justice israélienne et par celle d’autres pays, en confirmant que l’affaire de Omar Radi s’inscrit, une fois de plus, dans le cadre « des attaques menées depuis plusieurs décennies par Amnesty contre le Maroc ».
Il faut rappeler qu’Amnesty International n’a jamais pu apporter la preuve tangible de ses accusations que les autorités marocaines avaient piraté et surveillé les activités d’Omar Radi en utilisant un logiciel israélien appelé Pegasus, développé par une entreprise de sécurité informatique bien connue, le groupe NSO. D’ailleurs, Amnesty International qui s’acharne depuis cinq ans à poursuivre en justice NSO, a finalement été déboutée par la justice israélienne.
Enfin, Irina Tsukerman qui promet d’autres révélations à venir dans cette affaire se demande s’il n’y a pas de convergences d’intérêts entre certaines ONG internationales des droits de l’homme, certains hauts fonctionnaires gouvernementaux marocains, le Qatar et les frères musulmans pour faire pression sur le Maroc et nuire à son image ? Affaire à suivre…
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