Par Skander Salhi
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Depuis mercredi soir, le général Ali Ghediri, l’homme qui a voulu défier le système algérien lors des élections présidentielles annulées du mois d’avril 2019, est entre les mains des enquêteurs de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), à savoir les services secrets algériens. Le général algérien est interrogé longuement depuis mercredi 22 H sur ses relations et rapports avec le milliardaire Issad Rebrab, la première fortune du pays, et le général Toufik, l’ex-patron du DRS, accusé dans une affaire de complot contre l’Etat-major de l’armée algérienne avec la complicité de Saïd Bouteflika et Bachir Tartag, l’ex-chef de la D.S.S, la coordination générale des services secrets. Il a été également questionné sur les informations qu’il délivrait au général Toufik quand il était haut responsable du ministère de la Défense alors que ce dernier était déjà à la retraite.
Selon nos informations, Ali Ghediri fait l’objet d’une longue enquête approfondie diligentée par les services secrets algériens. Ali Ghediri risque à n’importe quel moment un emprisonnement ou un placement sous contrôle judiciaire.
Encore des règlements de comptes, Gaïd Salah est rancunier envers ceux qui ont contesté le 5e mandat.
lors d’une discussion avec un moudjahid sur le nombre exact des moudjahidines durant la guerre de liberation je garde toujours sa reponse en tete car l’ayant trouve pertinente et tres proche de la realite ila affirme qu’il a constate par experience du terrain que le peupla algerien durant la guerre etait divise en trois tendences donc environ trois millions chacune donc un tiers etait carrement avec la france un tiers etait indifferent et un tiers engage pour la liberation du pays d’ou ce principe que je garde toujours de diviser en trois alors si gaid salah compte emprisonner les anti-cinquieme mandat de boutef le nombre avoisine 13 millions d’algeriens d’ou probleme de prisons a mon avis il n’y a que le grand sud qui peut supporter ce nombre